8h30: arrivée au camping de Fontaine, je récupère mon dossard, N°353 (à cet instant on se dit pourvu que ce N° ne soit pas mon classement final!!!!).
Tout normalement, la pression monte peu à peu, il me reste 1h30 avant le départ programmé à 10h15 (café, discussion entre collègues, échauffement, ça passe vite)
Il est 10h, le parcourt long (30kms) prend le départ, quant à nous, on s'envole 15mn après pour ce qui est appelé le parcours "court" (je comprends pas car je l'ai trouvé très long, moi !).
Donc c'est parti, direction le cimetierre puis jusqu'au pied de la fameuse 14% que l'on évitera (maigre consolation, mais tout est bon à prendre !), pour s'engager à gauche sur le GR6.
Dès le départ, je sens que j'ai toujours cette pointe au mollet qui me poursuit depuis 1 semaine.
Trop tard, je sais que j'en ai trop fait ces derniers temps, il va falloir oublier le classement et essayer de gérer la course tant bien que mal.
Arrivé en haut, nous longeons un sentier en parrallèle de la piste de la Pourraque.
Ce single, qui après 3 kms de faux plat montant, nous mènera en bas de Fond de l'Oulle, qu'il faudra remonter d'ailleurs.
Et c'est parti pour l'ascension jusqu'à la Vigie (6 kms) par ce fameux sentier de Fond de l'Oulle.
1h20 à ma montre, je suis enfin devant cette fichue Vigie, le temps de prendre un gel et peu d'eau, je redescend tout droit par un single hyper technique (j'ai laissé 3 fois mes chevilles sur le côté !!!!).
Ce single nous mènera jusqu'à Mourre-Pelé, et continue sa grosse descente en haut de la piste de Saumane.
Il faut repasser 2 vallons (je vous dit pas les montées, courtes 400m mais annoncées à 18% !!!) et récupérer le sentier des Fayardes.
Je perds 15 mn car j'ai perdu la tracé du parcours sur le single. Je me suis engagé sur un mauvais chemin, le fatigue et le manque de lucidité se font sentir. Heureusement je croise un vététiste qui me ramènera sur le bon sentier. Ouf !.
Tout normalement, la pression monte peu à peu, il me reste 1h30 avant le départ programmé à 10h15 (café, discussion entre collègues, échauffement, ça passe vite)
Il est 10h, le parcourt long (30kms) prend le départ, quant à nous, on s'envole 15mn après pour ce qui est appelé le parcours "court" (je comprends pas car je l'ai trouvé très long, moi !).
Donc c'est parti, direction le cimetierre puis jusqu'au pied de la fameuse 14% que l'on évitera (maigre consolation, mais tout est bon à prendre !), pour s'engager à gauche sur le GR6.
Dès le départ, je sens que j'ai toujours cette pointe au mollet qui me poursuit depuis 1 semaine.
Trop tard, je sais que j'en ai trop fait ces derniers temps, il va falloir oublier le classement et essayer de gérer la course tant bien que mal.
Arrivé en haut, nous longeons un sentier en parrallèle de la piste de la Pourraque.
Ce single, qui après 3 kms de faux plat montant, nous mènera en bas de Fond de l'Oulle, qu'il faudra remonter d'ailleurs.
Et c'est parti pour l'ascension jusqu'à la Vigie (6 kms) par ce fameux sentier de Fond de l'Oulle.
1h20 à ma montre, je suis enfin devant cette fichue Vigie, le temps de prendre un gel et peu d'eau, je redescend tout droit par un single hyper technique (j'ai laissé 3 fois mes chevilles sur le côté !!!!).
Ce single nous mènera jusqu'à Mourre-Pelé, et continue sa grosse descente en haut de la piste de Saumane.
Il faut repasser 2 vallons (je vous dit pas les montées, courtes 400m mais annoncées à 18% !!!) et récupérer le sentier des Fayardes.
Je perds 15 mn car j'ai perdu la tracé du parcours sur le single. Je me suis engagé sur un mauvais chemin, le fatigue et le manque de lucidité se font sentir. Heureusement je croise un vététiste qui me ramènera sur le bon sentier. Ouf !.
J'entame une belle descente jusqu'au canal de Carpentras.
Je passe sur l'Aqueduc (à ce moment je ne suis plus qu'un légume courant !!!) pour plonger dans le vallon de Bondelon et là, le mini-drame.
Vu que cela faisait déjà 3 bornes que seul mon cerveau me portait, voilà qu'il faut encore grimper un single sur 500 m annoncé lui à 20 %!!!! (j'crois que je les ai insulté...en marchant bien sûr !)
La suite c'est 3kms de terrain descendant.
J'arrive enfin devant le camping, moi et mes deux ampoules !!!
Je franchis la ligne d'arrivée en 2h29mnOOs, et empoche la 160ème place (249 inscrit sur ce parcours).
Pas terrible mais la casse est limitée.
Mon mollet a tenu, j'ai su être raisonnable et gérer ce handicap depuis le départ, c'est le plus important.
La 2ème partie de course (descendante) aura été très dure, car très technique et la fatigue de l'ascension cumulée...invite quelques crampes inévitables !!!
En tout cas, c'était comme prévu, très dur, j'en ai bien bavé, et je jure, je jure que....je recommencerai !!!! non mais.
KIRIKOU.
Je passe sur l'Aqueduc (à ce moment je ne suis plus qu'un légume courant !!!) pour plonger dans le vallon de Bondelon et là, le mini-drame.
Vu que cela faisait déjà 3 bornes que seul mon cerveau me portait, voilà qu'il faut encore grimper un single sur 500 m annoncé lui à 20 %!!!! (j'crois que je les ai insulté...en marchant bien sûr !)
La suite c'est 3kms de terrain descendant.
J'arrive enfin devant le camping, moi et mes deux ampoules !!!
Je franchis la ligne d'arrivée en 2h29mnOOs, et empoche la 160ème place (249 inscrit sur ce parcours).
Pas terrible mais la casse est limitée.
Mon mollet a tenu, j'ai su être raisonnable et gérer ce handicap depuis le départ, c'est le plus important.
La 2ème partie de course (descendante) aura été très dure, car très technique et la fatigue de l'ascension cumulée...invite quelques crampes inévitables !!!
En tout cas, c'était comme prévu, très dur, j'en ai bien bavé, et je jure, je jure que....je recommencerai !!!! non mais.
KIRIKOU.
